C’est un programme Beethoven et Brahms que le pianiste François-Frédéric GUY
nous offrira à MÉRÉ le 10 décembre 2017 à 17h. (église Saint-Denis).
Pour son second concert ‘carte blanche’, il a choisi un très beau programme composé d’oeuvres de ses deux compositeurs de prédilection.
François-Frédéric GUY est considéré comme un ‘beethovénien’ par les médias et le public. Il est l’un des meilleurs interprètes de notre temps pour la musique de Beethoven, dont il a interprété, sur scène à maintes reprises et pour le disque, l’intégrale de la musique de chambre pour piano ainsi que les 5 concertos.
Dès la sortie de son premier disque consacré à Beethoven en 1998, François-Frédéric GUY a capté l’attention du public et des médias par sa compréhension de l’architecture ‘beethovénienne’ et son approche personnelle de cette œuvre empreinte de tradition et d’inventivité mêlées.
Après les 32 Sonates pour piano solo (2009 – 2012) et l’intégrale des 5 concertos avec l’Orchestre Philharmonique de Radio France dirigé par Philipe JORDAN (2007 – 2009), à partir de 2012 François-Frédéric GUY a poursuivi sa route beethovénienne avec la complicité du violoniste Tedi PAPAVRAMI et du violoncelliste Xavier PHILLIPS pour offrir l’intégrale des sonates avec violon, de la musique pour violoncelle et piano et des trios pour piano et cordes.
C’est ce qu’il appelle son ‘Beethoven Project’… le répertoire de Beethoven étant selon lui son ‘alfa et son omega’, ou son ‘livre de chevet’…
Ecoutons-le en parler, mais aussi de Beethoven et son apport à la musique et même aux instruments :
Les critiques sont souvent très élogieuses, comme celles-ci :
« Subtil, ferme, lyrique mais ne perdant jamais le sens de la pulsation dans les passages «vocalisés» du mouvement lent, le pianiste français s’affirme comme un beau Beethovénien. Ce que confirmait le bis accordé, le mouvement lent de la sonate dite ‘Au clair de lune’. Guy l’interprète d’une manière extraordinaire, dans une tristesse droite et digne, sans crêpe ni cierges, comme un choral pour orgue. La mélodie, d’ordinaire jouée sanglotée, est donnée comme un motif de plain-chant grégorien traversant la polyphonie. C’est splendide, et inédit. » Le Monde, Renaud Machart
« François-Frédéric Guy est le grand beethovénien français du moment, et son entente avec le chef Philippe Jordan est un modèle du genre, comme l’atteste leur enregistrement. » Figaro, Christian Merlin
Le voici précisément en soliste avec le Philharmonique de Radio-France dirigé par Philippe Jordan, dans le 3ième mouvement du Concerto n° 5 ‘L’Empereur’ :
Nous avons pu admirer tout son talent lors du concert avec Xavier PHILLIPS à Neauphle-le-Château le 19 novembre, avec un programme composé de 3 sonates pour violoncelle et piano de Beethoven bien sûr. Un jeu clair, équilibré, et rempli de sensibilité.
Pour son récital à Méré, il nous a préparé un merveilleux programme avec la sonate ‘Clair de Lune‘ et les ‘Variations Eroica‘ de Beethoven, et la sonate n° 3 de Brahms, son autre compositeur fétiche dont il a également enregistré l’intégrale des sonates pour piano en 2016.
Tous les détails sur le concert du 10 décembre de François-Frédéric GUY dans notre autre ARTICLE.
Ne tardez pas à réserver vos places.